Santé mentale : errance diagnostique de l’endométriose

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Des années après l’obtention de mon diplôme, une nouvelle douleur est apparue : un élancement dans mon bassin, une douleur lancinante dans mon ovaire gauche. J’ai consulté un autre médecin, en dehors de mon université cette fois. J’ai passé des échographies, des tomodensitogrammes, une coloscopie… toujours rien. Le médecin m’a dit que j’étais constipée. Rien de bien inquiétant. Pendant des mois, j’ai saigné quotidiennement et le médecin m’a dit qu’il ne pouvait pas m’aider. Je suis allée aux urgences et on m’a rembarrée à plusieurs reprises, sans me faire passer de tests ni même m’ausculter. On m’a renvoyée en disant que je n’avais aucun problème physique. À cette époque, j’étais très investie dans mes recherches. J’avais découvert que ma tante avait été opérée pour l’endométriose au même âge. J’ai lu énormément de revues médicales et de fils de discussion sur Twitter et, oui, me suis auto-diagnostiquée la maladie parce que personne d’autre ne voulait m’aider. J’ai commencé à me sevrer des médicaments antipsychotiques qui m’avaient été prescrits des années auparavant. Ils ne me faisaient aucun bien et les effets secondaires étaient de plus en plus difficiles à supporter. 

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